Les nuisances olfactives sont parmi les pollutions les plus mal acceptées par les populations. Même si la législation n’est pas très précise sur les sujets de flux odorants, de concentrations d’odeur ou encore de limite d’émission et si, du fait de faibles concentrations, il n’existe pas de relation entre la toxicité et la sensation de mauvaises odeurs, la nuisance olfactive doit être combattue.
Pour un meilleur confort du voisinage ou pour ne pas altérer l’image de marque d’une société, d’une industrie ou d’une collectivité il est nécessaire de remédier aux émissions gazeuses malodorantes.
Les odeurs sont des sensations perçues par l’odorat, qui peuvent être agréables ou désagréables selon les personnes et les contextes.
Les odeurs sont produites par des composés organiques volatils (COV) présents dans l’air, qui proviennent de sources naturelles ou anthropiques.
Certaines activités industrielles, agricoles ou urbaines peuvent générer des odeurs qui dépassent le seuil de tolérance des riverains et qui constituent une forme de pollution olfactive.
Pour réduire les émissions d’odeurs et préserver la qualité de l’air, il existe différents procédés de traitement de l’air, qui visent à capter, filtrer, neutraliser ou détruire les molécules odorantes.
A l’aide d’un procédé innovant mettant en œuvre un gel actif fonctionnant grâce à un flux d’air soit naturel en extérieur soit forcé à l’aide de ventilateur d’extraction ou de soufflage.
Pour éviter la propagation et le dégagement de gaz malodorants, AVIPUR traite les odeurs en les neutralisant ou en détruisant leur origine
Lorsque l’origine de l’odeur est de type bactérien le traitement se fait par brumisation à l’aide d’un produit désinfectant, algicide, fongicide et bactéricide.
Le choix du procédé de traitement des odeurs dépend de plusieurs facteurs, tels que le type et la concentration des COV, le débit et la température de l’air à traiter, le coût et la performance du procédé, ou encore les normes environnementales à respecter.
C’est un procédé qui vise à réduire ou à éliminer les mauvaises odeurs émises par certaines activités industrielles ou agricoles.
Parce que les odeurs peuvent être nuisibles à la santé, au bien-être et à la qualité de vie des personnes exposées.
Il existe plusieurs techniques, telles que la biofiltration, l’adsorption, l’oxydation chimique, la désodorisation ou la neutralisation.
Il faut tenir compte de plusieurs facteurs, tels que la nature et la concentration des composés odorants, le débit et la température du flux gazeux, le coût et l’efficacité du procédé, les normes environnementales et les contraintes techniques.